Recherches

Rechercher sur notre site

Recherchez ici notre site Web en entrant un mot clé ou en choisissant une base de données ci-dessus pour effectuer une recherche spécifique.

Chercher


Les résultats de recherche 14,111 - 14,120 14,224 résultats trouvés
Aile (f.)
Effaceur pour tableau à craie (m.)
Compas droit à pointes sèches (m.)
Compas droit à pointes sèches (1) (1) Aussi compas à secteur.
Batte (rouissage du lin) (f.)
Cette batte (1) est un outil à main en bois pour lisser le dessus des dernières bottes de lin dans les caisses de rouissage. Il s'agit d'une planche ou d'un bloc de bois solide, d'environ 35 cm de long et 20 cm de large, avec un fond plat et une ou deux poignées verticales en haut. La tête du paquet de lin ne devait pas dépasser trop haut dans ces caisses de rouissage, qui étaient trempées dans l'eau du fleuve. L'outil n'est pas à confondre avec la plane du briquetier et la batte du carrelier. [MOT] (1) Nom propre inconnu.
Espace de vannage au Liermolen
Doloire de charpentier (f.)
La doloire (1) de charpentier est utilisée pour équarrir les bûches et les gros morceaux de bois. Il est également parfois utilisé pour peler un arbre. Cette hache pèse environ 1,5 à 3,5 kg et se caractérise par une lame large (jusqu'à 40 cm) avec un biseau et souvent une longue douille. La tige mesure 25 à 40 cm de long et se tient à une ou deux mains. Le tronc est d'abord enduit (voir cordeau à marquer) pour indiquer la forme à obtenir. Si peu de bois doit être enlevé, le menuisier procède immédiatement au travail avec la doloire; il se tient à côté du tronc et coupe ainsi dans le sens des fibres. Si l'aubier est trop épais, il y coupe des entailles avec la cognée (2) à environ 0,5-1 cm de la ligne; la distance entre les encoches (90-180 cm) (3) dépend du type de bois et également de la pièce (fibres droites ou non). Le bois entre les encoches est ensuite coupé avec la cognée. La surface rugueuse est coupée uniformément contre la ligne avec la doloire. La hache est l'outil principal du charpentier (du navire)...
Bibliographie
Bibliographie DAVID, J. 1974: De haak van de schulpboor, in Ons Heem. 28 (1974), 158-159. DE KEYSER R. 1966: Watervoorziening te Oostkerke in Rond de Poldertorens 1 (1966), 34-36. DE KLERK M. 1983: Nicolaas Van der Veer uit Bakkeveen maakt nog altijd houten pompen in Friesland Post, sept 1983, 11. DEVLIEGHER L. 1998: Landelijk en ambachtelijk leven. Het Provinciaal Museum Bulskampveld te Beernem, Brugge. ESTHER J. en VANTHOURNOUT R. 1994: Arthur Vandendorpe: restaureren, renoveren, Brugge, 210-211. GEERVLIET J.C. 1975: De ouderwetse houten waterpomp in Blaricum Hei en Wei 6 (1975) 2. GSCHWEND M. 1979: Der Tüchelbohrer, Ballenberg. JANSSENS A. 1971: Een verdwenen beroep: Pompboorder in Heemkring Het Land van Nevele, 2 (1971), afl 4. LÜNING A. Vom Pipen- und Pumpenbohren in Volkskunde im Spannungsfeld zwischen Universität und Museum, 95 (1997), 283-312. OERTLING T.J. 1996: Ships Bilge pumps. A history of their Development, 1500 – 1900, London. Pumpmaking: The early American wooden pump in The tool collector magazine...
Tire-clous (m.)
Le tire-clous sert à retirer les clous qui maintiennent les ardoises sur un toit. Il s'agit d'une feuille de métal d'environ 30 à 50 sur 4 à 5 cm avec des encoches latérales vers l'arrière, dont une extrémité est pliée perpendiculairement. Une poignée métallique est forgée à cette extrémité qui se termine par un crochet. Le couvreur en tuiles pousse la feuille sous l'ardoise cassée, saisit le clou dans une encoche et tire l'outil vers lui; parfois, il frappe la partie à angle droit avec son marteau. [MOT]
Racle de cantonnier (m.)
Pour gratter dans l’étable la rigole courant derrière les stalles, on utilise une racle de cantonnier. La largeur de la partie travaillante est plus ou moins égale à celle de la rigole. L’outil est parfois utilisé pour nettoyer l’écurie ou le poulailler ou encore pour rassembler en rue les déjections des animaux de trait ou la boue. La racle de cantonnier se compose d’une planche de bois (1) ou, le plus souvent, d’une plaque d’acier (env. 15-50 cm sur 15 cm) pourvue ou non d’une partie supérieure courbée dans le sens de la largeur (env. 4 cm) et d’une douille; exceptionnellement, on trouve au centre de la lame un arceau avec douille. Un manche d’environ 150-180 cm s’emboîte dans cette dernière. Dans le catalogue de J.C. Tissot (2), on trouve un outil similaire constitué d'une planche (ca. 50, 60, 70 ou 80 cm) munie d'un bord de caoutchouc, dont l'orientation peut être modifiée. Le manche est réglable. Le jardinier s'en sert pour rassembler la boue etc. Voir aussi houe et serfouette. [MOT] (1) DURAND-CLAYE: 475. (2)...
Gratte (f.)
Essentiellement un outil de peintre, la gratte à manche est parfois utilisé pour gratter le bois en douceur, pour nettoyer l'intérieur d'un tonneau, pour finir des produits de poterie, etc. Il s'agit généralement d'une plaque de métal triangulaire (5-14 cm) avec une tige de métal au milieu de la surface qui colle dans un manche en bois. L'un des côtés peut être arqué. L'outil diffère de la plane à queue en ce que le plan de la lame et celui de la pièce usinée sont perpendiculaires l'un à l'autre. Voir également le grattoir à vitre et le grattoir à écume. [MOT]